À propos
C’est l’histoire d’une rencontre, celle de deux aventurières évoluant dans la sphère artistique parcourant ainsi l’univers de la création, de la recherche, de l’innovation et de la culture avec cette même quête de l’excellence et de l’émotion.
Les Robinsonnes
L'une fait de l'art son métier
Une Robinsonne qui doit sa révélation artistique à la mode et à la décoration. Le stylisme en dessinant des modèles pour le prêt à porter et la décoration en donnant une nouvelle vie à du mobilier chiné dans les brocantes.
Dessineuse, chineuse et bricoleuse… aussi barbouilleuse !
La peinture devient peu à peu une seconde nature, instinctive et spontanée ,une énergie qui ne la quittera plus, partageant ses joies et ses peines, ses coups de cœur et ses coups de gueule.
Une expression quasi-permanente de son état d’âme, de son état d’art.
Car l’art, Carole le vit au quotidien, il est son leitmotiv et le partage avec les artistes qu’elle déniche, qu’elle présente, qu’elle promeut au sein de la galerie.

Une rencontre avec Anne-Emmanuelle Cornu-Cotand, qui deviendra une amie très proche, lui permet aujourd’hui, fidèle à leur philosophie de vie, de présenter une vision de l’art quelque peu insolite, en marge des stéréotypes, des poncifs. Une vision “libre”, audacieuse, indépendante qui permet à l’artiste qui veille en elle de partager avec les clients, qu’ils soient néophytes ou avertis, ses émotions artistiques.
Carole est donc désormais une femme entrepreneuse dont le dynamisme, l’écoute et la sensibilité contribuent au rayonnement de la galerie.
Rendre l’art accessible à tous, le “populariser”, le détour-
ner ou le reconceptualiser, dénicher et soutenir de jeunes talents, une certaine approche qui révèle une volonté, par-
tagée avec son associée, d’aller à la rencontre de l’autre, l’inviter au voyage, un voyage dans la sphère culturelle.
Montrer que ce que l’on a sous les yeux peut être vu différemment
Les Robinsonnes
L'autre fait de son métier un art
En 1651, Robinson Crusoé quitte York, en Angleterre, contre la volonté de ses parents qui voulaient qu’il devienne avocat, pour naviguer. C’est ainsi qu’il devint propriétaire d’une plantation au Brésil, puis au Vénézuéla.
Anne-Emmanuelle fit le chemin inverse, elle quitta les couleurs et les senteurs équatoriales de son enfance, abandonna son rêve de devenir conservateur de musée et devient médecin comme ses Parents l’espéraient .
Vous en conviendrez, son équipée est moins aventureuse que celle de Robinson. Mais l’histoire ne s’arrête pas là, Anne-Emmanuelle fait évoluer son orientation professionnelle vers les métiers du marketing et de la communication et ainsi développe son sens inné de la créativité, empreinte d’émotion et de partage.
Elle fait le choix de vivre son métier, le dotant d’une autre dimension, en le pratiquant tel un métier d’art, elle repousse les limites du rationnel, refusant une certaine forme de « linéarité dans le quotidien » .

En parallèle, elle s’engage dans de multiples challenges, physiques comme le Rallye des Gazelles… mais aussi entrepreneurial et financier dans la création de la Galerie en 2008.
Cette aventure artistique ne pouvait se réaliser en solo ! Et surtout sans son alter ego, sa partenaire d’expositions, sa complice blonde ! Carole ! Les Robinsonnes sont ainsi nées.
Ces années de rencontres artistiques qui deviennent amicales, de vernissages joyeux et de conseils à des clients comblés sont un voyage privilégié et précieux !